La décision finale sur la qualité d'un vin est prise par le consommateur et, malgré toutes les méthodes d'analyse scientifiquement fondées, il s'agit d'un mélange d'impressions qui ne sont pas purement objectives, mais en grande partie subjectives. Le "goût" d'un vin dépend également des préférences ou des aversions physiologiques (une personne n'aime pas le vin rouge parce qu'elle a peut-être fait une mauvaise expérience en raison d'un taux d'histamine élevé), du contexte culturel du consommateur et de ses expériences personnelles. Les expériences sont certes subjectives d'un point de vue strict, mais elles constituent également un critère objectif (les vins acides provoquent des brûlures d'estomac, ce qui signifie qu'un vin de ce type est de mauvaise qualité).
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Dominik Trick
Technischer Lehrer, staatl. geprüfter Sommelier, Hotelfachschule Heidelberg